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Le rapport de réalisation de l’étude diagnostique du secteur de la diplomatie et relation avec l’extérieur est validé par l’équipe technique prospective de la #vision_RCA_2050, après avoir consulté ledit rapport qui a été soumis à l’analyse approfondie des participants à cet atelier et de formuler des recommandations.

Le rapport d’étude de diagnostic du secteur de la diplomatie et relation avec l’extérieur est divisé en deux parties dont la première partie traite les principaux faits marquants de la Diplomatie Centrafricaine de 1960 à jours et la seconde partie, est consacrée à l’analyse diagnostique de la Diplomatie Centrafricaine et de relation avec l’extérieur subdivisé en sous-section à savoir le point fort (force) de la diplomatie centrafricaine et les aspects négatif (faiblesse) qui empêchent le rayonnement de la diplomatie au plan international. 

Les échanges ont été très enrichissants autour de la question de l’analyse de la diplomatie centrafricaine et sa relation avec l’extérieur. 

« De l’indépendance , aux années 80, la République Centrafricaine avait une pluralité de contacts et coopération à travers le monde avec plus d’une cinquantaine de mission diplomatiques et postes consulaires repartis sur tous les continents ». 

Il est fort probable de souligner haut qu’aujourd’hui et depuis de décennies, la diplomatie de la RCA présente des faiblesses sur la scène internationale. 

Depuis le retour à l’ordre constitutionnel en 2016 , les autorités du pays s’activent à donner un souffle nouveau à la diplomatie centrafricaine. Ses relations avec les pays voisins à travers des accords de partenariats à l’exemple de la #CEMAC, #CEEAC, Union européenne en Centrafrique , etc offrent d’énormes opportunités qui devraient lui être profitable mais en majeure partie, ce n’est plus le cas. 

Quelques faiblesses relevées: 

La RCA ne donne pas sa part de contribution financière dans les organisations internationale qu’elle signe des accords de coopération, et les ambassades du pays à l’extérieur n’ont pas de locaux appropriés et ne sont pas financer de manière régulière, etc. Autant des défis qui constituent des faiblesses qui empêchent son véritable rayonnement à l’international.

 "La prochaine étape consisterai à faire intégrer les amendements assorties de cet atelier dans ce rapport qui est validé et compilés avec les résultats des autres analyses faites sur les recommandations des études pour qu’enfin, faire un document de travail purement technique en ce qui concerne la RCA vision 2050 qui va remplacer bien évidemment le RCPCA dont la fin est prévue en 2023", a précisé Joseph Aimé BETINDJI, Chargé de Mission, responsable du partenariat au Ministère de l’Economie du Plan et de la Coopération Internationale.

Aubin Ndata

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